Biographie
Père du mouvement postnéobotchiste, Philippe Garon se définit comme un habitant et un généraliste des arts littéraires. Né en 1974 à Sainte-Anne-des-Monts, il explore notamment le conte, la poésie, le récit, le théâtre, l’essai et la chanson. Animal grégaire, il vit l’écriture surtout dans les rencontres et le mouvement : bûcher, jardiner, skier. Son projet « CR!ONS », qui comprend un recueil de poésie, un album de chansons et un spectacle mis en scène par Michel Faubert, lui a permis de remporter le prix du CALQ de l’œuvre de l’année en Gaspésie en 2016 ainsi qu’une nomination au Prix Éloizes dans la catégorie « Artistes de l’Acadie du Québec » en 2018. Inscrit au répertoire des ressources culture-éducation, il rencontre chaque année plusieurs centaines de jeunes. Son parcours atypique lui a permis de travailler avec certains de nos plus grands, comme Marie-Claire Séguin, Daniel Boucher, Pol Pelletier, Jean-Paul Daoust, Daniel Lavoie et Nicole Leblanc. Il aime les arbres, la philosophie et la soupe aux légumes.
Entrevue
Non. Mais j’en entendais beaucoup. Comme « Le petit bonheur » de Félix Leclerc, l’émission « Sol et Gobelet » et le monologue « Pépère » d’Yvon Deschamps.
Je ne sais pas. On m’a dit que ce que j’écrivais était de la poésie alors que je n’y pensais même pas. En 2010, on m’a invité au Festival de poésie de Caraquet. Depuis, j’essaie de mériter le noble titre de « poète ».
Regarder. Marcher. Dire. Recommencer.
« Au centre de notre vie je gravite non encore né non encore formé » de Pierre Morency